Au feu !

Aujourd'hui, jeudi 1er octobre 2015, yavait du monde à la maison !
Deux cheministes, deux plombiers et un couvreur.

La pompe à chaleur a été déplacée sur le toit, comme ça elle pourra condenser autant qu'elle veut, ça n'inondera plus le garage et l'entrée !

La cheminée est enfin installée !



C'est beau, on dirait presque une photo de catalogue !
Mais commençons par le commencement...



Sciage du plafond. Un gars sur le toit manie la scie, un autre manie l'aspirateur depuis l'intérieur.



Vue du toit. Le cercle est presque bouclé.



Vue de l'intérieur. Le cercle est terminé, le morceau de placo, évacué, finira sa vie à la déchetterie. Les adeptes de la géométrie et les ayatolahs de la précision remarqueront bien que le cercle n'est pas parfait mais c'est pas grave, une console métallique noire va venir cacher tout ça !



Le conduit de la cheminée peut prendre place.



D'abord un ptit bout.



Puis, après que la console-cache-misère ai été posée, les deux compères peuvent monter le reste du tuyau facilement grâce à un petit chariot élévateur monté sur un diable.



C'est dingue les instruments bizarres qui existent dans les métiers du bâtiment !



Yapuka poser le foyer !
Mais d'abord, il faut installer le conduit extérieur.



Voilà, magie du reportage photo, c'est déjà fait !



Tout en métal chromé, le ciel et le soleil s'y reflètent.

Et pendant ce temps, les plombiers avancent aussi.



La pompe à chaleur (en fait le module extérieur uniquement bien sûr) a été sorti de son placard (lequel va certainement devenir le local poubelles à moinss que je décide de le démonter mais le câble de la ligne téléphonique est fixé à son plafond et ça complique un peu la démole...).



Le couvreur a percé le toit et mis en place une crosse dans laquelle les tuyaux calorifugés et l'alimentation électrique du biniou sont passés.



Bim boum et voilà !



Elle va être bien ici la pompe à chaleur...
Mais pas aussi bien que nous devant notre belle cheminée !





Bon, il va falloir qu'on réorganise un peu l'ameublement du salon passque elle prend de la place cette belle cheminée. Mais on va trouver une solution élégante, bien sûr.







Avec sa grille anti-étincelles.
Forcément, on voit moins bien le feu...



J'ai acheté ce qu'il faut pour préparer de belles flambées.
On est paré pour l'hiver (enfin bon façon de parler, il va bien sûr falloir qu'on rachète régulièrement du bois, on ne fera pas une saison avec une quinzaine de bûchettes !).





Vivement qu'il fasse froid pour qu'on ne s'en rende pas compte !

Finitions peinture

Tiens ? Mais que fait ce miroir ici ?
Le peintre est venu ce matin.



Et il a enfin peint l'escalier.



Alors il faut bien empêcher le chat de venir mettre ses sales pattes sur la peinture fraîche.
Voilà ce que fait ici ce miroir.

Vous rappelez-vous que les peintres nous avaient laissé plein de traces de doigts sur le bardage extérieur du "jardin" ?



Ah oui, c'est pas joli-joli.



Et bien il a aujourd'hui reponcé et mis une nouvelle couche de vernis pour arranger les choses.



Mais en fait, c'est toujours aussi crââââde après (comme vous pouvez aisément le constater sur la photo ci-dessus).



Alors on a retourné une planche et il a vernis la face sans traces de doigts mais... la couleur obtenue ainsi est bien plus foncée que le reste alors c'est pas la solution non plus.
Du coup, il va devoir mettre une nouvelle couche de vernis teinté (chêne) sur toute la surface et normalement, ça devrait couvrir les traces de doigts...
A suivre en octobre.



En octobre aussi, le jeudi 1er octobre pour être précis, ce joli trou dans le plafond sera (enfin) rempli par une belle cheminée bathyscafocus.





Chouette ! Cet hiver on va pouvoir se faire de belles petites flambées !



En attendant, en ce moment, il fait très beau sur Bordeaux.



Salut.

Mon bureau

J'ai accroché des trucs sur le mur de mon bureau.
Que des originaux.
Surtout de moi (c'est ce que j'ai de plus en stock !), pas mal de Jean-Fran mais aussi un Johanna et une photo de Remy protej'man.



C'est chargé mais j'aime ça.



C'est un peu de traviole mais je ne suis pas doué en bricolage (et toujours un peu pressé).



Me reste à faire un bidule sur-mesure (45x8cm) pour remplir le petit espace entre "La menace de l'homme-boule 'comics d'action)" et "J'ai mal aux dents (comique de situation)".



Ici, une vue panoramique.
Voilà c'est tout.

Non, c'est pas tout, j'ai rajouté deux ou trois bricoles pour "boucher les trous", sauras-tu les repérer ?





Cette fois, c'est bien tout.

Visite du toit

Je suis monté sur le toit aujourd'hui et je voulais juste vous en faire profiter :



Au loin (et au centre de l'image), on aperçoit la flèche de Saint-Michel.



La cheminée de la VMC.



Le patio de la chambre.



Le patio de la cuisine.



Le jardin (ça pousse).



Les voisins du 14 et 16 rue de Latresne.



Au premier plan, le jardin des relous qui font régulièrement des barbecues qui puent (d'abord le gas-oil et ensuite la viande brûlée) en parlant fort.
Derrière, le jardin des enfants qui braillent.
J'ai découvert les joies du voisinage en maison. C'est différent de celles en appartement...
Bon, je me plains, je me plains parce que j'ai un mauvais fond mais en vérité, les nuisances sont tout de même assez rares !

Voilà voilà, gros bisous.

Réparation chauffage au sol

Le plombier est venu réparer le chauffage au sol.
Tout s'est très bien passé, on est content.

Je n'ai pas pensé immédiatement à prendre des photos alors il manque les premières étapes :
- Cassage et dépose du carreau, d'abord à la massette mais l'ardoise étant récalcitrante et trop costaude, il a fallut y aller au mini-marteau-piqueur (marteau-picorette ?) et, là, ça a été radical et efficace, le carreau s'est soulevé gentiment sans abîmer ses voisins. Je pense que c'est l'étape que Christine a préféré depuis son lit (il était 8h15/8h30) ;
- Cassage de la chape liquide pour atteindre les tuyaux. Le plombier craignait que les tuyaux soient complètement pris dans la matière et difficiles à atteindre mais non, pas du tout, la chape s'est gentiment laissé destroy à coups de ciseau-burin. Je pense que cette étape a aussi bien plu à Christine (il était 8h30/8h45);
- Découpe du tuyau percé (que j'ai gardé comme trophée-souvenir de ces instants de bonheur simple et ultime) ;
- Mise en place des raccords homologués en laiton ;

Après, j'ai pensé à sortir mon smartphone et à photographier chaque étape, alors voilà :

- Les raccords sont sertis avec un outil hydraulique puissant, cette méthode assure une étanchéité parfaite.



D'un côté.



De l'autre.



"Tada !"

- Le tuyau est recouvert de ciment.



- On encolle la chape nettoyée au préalable à légers coups de ciseau-burin et le carreau sur la zone fraichement cimentée.



- Et puis on nettoie avant de poser le joint (et de renettoyer).



Voilà, c'est fait.


Le trophée-souvenir et la joie dans le regard à moitié de traviole.

Sous les spotlights!

Alors voilà, ça y est, on voit clair la nuit maintenant.
C'est tout con, il suffisait d'installer des spots au plafond, on aurait dû y penser avant.
Mais... attends... ah oui! on y avait bien pensé mais on ne pouvait pas les mettre en place avant que la maison ai passé le test d'étanchéité à l'air RT2012 puisqu'il faut percer le plafond.

Enfin, aujourd'hui c'est fait et, à l'instar de ce brave Richard Bohringer (tu sais celui du café Malongo), mais à mon échelle (forcément plus petite), je dirais : "c'est beau une maison la nuit".





Les spots vont par paire.
chaque paire a été judicieusement placée afin d'obtenir un éclairage efficace et, j'ose le dire : artistique, oui madame, oui monsieur.



Les spots sont beaux car très encastrés et les ampoules (à LED) sont au dessus du niveau du plafond donc peu visibles.



Et en plus, c'est encore-mieux-beau en vrai que en photo alors c'est dire !



Et puis on a aussi enfin mis en place les appliques dans les chambres :



On est bien content de les avoir enfin installées ces appliques.
Christine a choisi les montants d'un modèle (qu'on a décidé d'utiliser à l'envers), les abats-jours d'un autre et on les a achetés depuis plusieurs mois. Comme le mode de fixation de base n'était pas compatible avec notre environnement contextuel immédiat (sans entrer dans les détails technico-techniques, c'était la marde), on a dû faire appel à nos cervelles (plus quelques autres) et c'est finalement la matière grise de l'électricien qui a trouvé la solution (que je ne décrirai pas avec précision mais sachez qu'elle a nécessité une intervention de Pierroune à base de perceuse et mèche à métaux - ça remonte au mois de mai - ainsi que l'usage d'une scie-cloche et de boitiers normalement utilisés pour les interrupteurs ou les prises de courant et enfin la fixation proprement dite - ça remonte à hier).
Bref, ça a été long et on est content 1) que ce soit fini et 2) que ça nous plaise.



Et ça nous plait de nuit comme de jour.





Bon, évidemment, quand on est juste en dessous des spots, on les voit les ampoules (à LED). Sauf si on est Gilbert Montagné, Amadou ou Mariam bien sûr.



Pour finir, ça n'a rien à voir, mais il vous sera certainement agréable d'apprendre que le plombier vient demain pour réparer le chauffage au sol percé par l'installateur du monte-personne mi-mai.

Vous pouvez reprendre une activité normale.