Le bambou géant

Nous désespérions du nanisme de notre bambou géant quand tout à coup :



Oui! le 27 mai, une vraie grosse canne de bambou géant est sortie de terre. (même 4 en vérité mais les 3 autres sont moins belles).



Et chaque jour, elle prend entre 15 et 20 cm ! (là, c'était le 28 mai).



Le 29.



Le 30.



Le 31.



Et aujourd'hui même, le 1er juin.



Bientôt la forêt de bambou envahira la Bastide !



Et il y a deux ou trois semaines, j'ai transvasé le contenu du composteur dans le jardin et, peu de temps après, j'ai constaté que de nouvelles plantes poussaient...
J'ai commencé par les arracher (une dizaine par jour au moins) avant de m'apercevoir que c'était peut-être bien des graines de potimarron qui avaient germé.
Alors je laisse monter pour voir...



Côté petit patio, la végétation prend bien aussi et ça devient assez touffu.
Ici le bambou non-traçant qui trace sa route et le jasmin étoilé qui embaume.



Sur la droite le chèvrefeuille qui prend ses aises.
Sur la gauche, la statue décapitée qui prend le soleil.



Vue d'ensemble.



On a acheté des chaises longues bien confortables et, le soir, on s'installe à la fraiche. C'est bien agréable.



Cet été, on reprendra les apéros du mardi de la Bastide et cette terrasse sera pleine de gens sympathiques et imbibés d'alccol !



Et il n'y a pas que le bambou géant qui pousse, il y a aussi ma pilosité faciale !



Et, en ce moment même, c'est le regard 9 de François Ayroles et Daniel Goossens, c'est bien Bowdeaux !

Allez, sur ce, bonne nuit à tous.

Quelques jours plus tard, le bambou a arrêté de pousser mais il a des feuilles, c'est mieux...







Si le bambou a arrêté de grandir, ce n'est pas le cas de tout le monde.



Les potimarrons forment (presque) une jungle impénétrable.



Et ma pilosité faciale aussi.

@+

De nouveaux ami(e)s sur la terrasse

Nous avons de nouveaux ami(e)s sur la terrasse et dans les jardins.





Des sculptures de Pierroune, notre tailleur de pierre préféré.



Une femme musclée.



Une gargouille de 80kg.





Dans l'angle, au fond, un buste sans bras.



Une agave americana variegata.



Et une décapitée à oualpouze.



Dans le petit jardinet.



Voilà, c'est tout.

Bonne anneige !

Ce matin, c'était white-christmas à la bourre à la Bastide.



C'était bâo.



Ça faisait ressortir le travail des arachnides...



Et ça a donné une idée à Christine pour une carte de voeux.



Alors tous nos voeux pour cette nouvelle année.



Bonne année d'traviole !

Balustrade

Oui, il se passe encore des choses à la Bastide, la preuve :



Nous avons fait fabriquer et poser une belle balustrade autour de la grande terrasse.



Métal traité et thermo-laqué dans la même teinte que les menuiseries extérieures, c'est chic.



Main courante (ou lisse pour les pros de la construction) en pin comme le plancher de la terrasse, c'est chic.



Très chic.





Voici qui met un point final à la construction de la maison...
Quand elle sera bien rangée (ça arrive de temps en temps), je ferai un dernier article complet pour clore cette épique épopée moderne et immobilière, vous verrez ça sera chouette.

Le jardin, les fleurs, la Bastide...

Le petit bambou non-traçant non-trace tranquillement et le lierre se développe très vite sur le vieux mur dégueu.



Le jasmin étoilé, soutenu par la treille, n'arrive pas vraiment à s'en faire une amie (de la treille, ami mononeurone, de la treille...).



Le rosier de Claude fleurit comme un magnolia à Alexandrie (Alexandra !).



Et les fleurs sen'tent bon.



Pierre de Ronsard de Suzanne a déjà donné toutes ses fleurs, au moins 6 ou 7 ! C'est la première fois qu'il fleurit autant.



Chèvrefeuille apprécie beaucoup la transplantation en pleine-terre (et nous aussi).



Panoramix le gaulois.



De l'autre côté, c'est plus mitigé...
Petit bambou géant reste petit, aucune nouvelle canne et il est flou.
Quant à Lucie le bananier, il est un peu amorphe...
Et ils sont tous les deux squattés par des dizaines et des dizaines et des dizaines (des centaines, quoi) de fourmis, ça m'agace. D'autant que petit bambou géant sert de laboratoire d'élevage et de traite de pucerons aux fourmis...



Zouli bouquet mixte (les fleurs ne sont pas racistes).



Et souperbe Pierre de Ronsard quelques jours plus tôt (c'est important la chronologie dans la vie).



En fin de journée, je suis content de retrouver mon beau petit jardin et mes fleurs (dont Christine, bien sûr). Parce que ces jours-ci, mon quotidien sent plutôt un peu le renfermé... comme ça :



C'est là que je travaille (on reconnait ma veste et mon café).



Derrière mon dos, d'autres postes de travail, tous plein de jeunes gens pendant la journée (là, c'est tôt le matin, c'est important la chronologie).



Le couloir qui mène au paradis sur terre.



La cafétéria terrrriblement tacceuillante (où je mange souvent des sandriches ou des plats pré-cuisiné réchauffés au micro-ondes, souvent seul comme un chien. De beaux souvenirs dont j'aimerais à me rappeler, la larme à l'oeil, lorsque mes vieux jours seront venus - tiens, j'ai hâte de mes vieux jours tout à coup).

Voilà voila.

Je crois que nombreux d'entre vous ont entendu parler régulièrement de monsieur Mononeurone, mon ami que nombreux d'entre les même vous pensaient imaginaire.
Et bien il est temps pour moi de vous le présenter :



Juste un cochon 311 mongolien.

Allez, pour vous r'mettre, vous r'prendrez bien un ptit bouquet avant d'partir :