mercredi 25 mai 2016

Le jardin, les fleurs, la Bastide...



Le petit bambou non-traçant non-trace tranquillement et le lierre se développe très vite sur le vieux mur dégueu.



Le jasmin étoilé, soutenu par la treille, n'arrive pas vraiment à s'en faire une amie (de la treille, ami mononeurone, de la treille...).



Le rosier de Claude fleurit comme un magnolia à Alexandrie (Alexandra !).



Et les fleurs sen'tent bon.



Pierre de Ronsard de Suzanne a déjà donné toutes ses fleurs, au moins 6 ou 7 ! C'est la première fois qu'il fleurit autant.



Chèvrefeuille apprécie beaucoup la transplantation en pleine-terre (et nous aussi).



Panoramix le gaulois.



De l'autre côté, c'est plus mitigé...
Petit bambou géant reste petit, aucune nouvelle canne et il est flou.
Quant à Lucie le bananier, il est un peu amorphe...
Et ils sont tous les deux squattés par des dizaines et des dizaines et des dizaines (des centaines, quoi) de fourmis, ça m'agace. D'autant que petit bambou géant sert de laboratoire d'élevage et de traite de pucerons aux fourmis...



Zouli bouquet mixte (les fleurs ne sont pas racistes).



Et souperbe Pierre de Ronsard quelques jours plus tôt (c'est important la chronologie dans la vie).



En fin de journée, je suis content de retrouver mon beau petit jardin et mes fleurs (dont Christine, bien sûr). Parce que ces jours-ci, mon quotidien sent plutôt un peu le renfermé... comme ça :



C'est là que je travaille (on reconnait ma veste et mon café).



Derrière mon dos, d'autres postes de travail, tous plein de jeunes gens pendant la journée (là, c'est tôt le matin, c'est important la chronologie).



Le couloir qui mène au paradis sur terre.



La cafétéria terrrriblement tacceuillante (où je mange souvent des sandriches ou des plats pré-cuisiné réchauffés au micro-ondes, souvent seul comme un chien. De beaux souvenirs dont j'aimerais à me rappeler, la larme à l'oeil, lorsque mes vieux jours seront venus - tiens, j'ai hâte de mes vieux jours tout à coup).

Voilà voila.

Je crois que nombreux d'entre vous ont entendu parler régulièrement de monsieur Mononeurone, mon ami que nombreux d'entre les même vous pensaient imaginaire.
Et bien il est temps pour moi de vous le présenter :



Juste un cochon 311 mongolien.

Allez, pour vous r'mettre, vous r'prendrez bien un ptit bouquet avant d'partir :