jeudi 5 février 2015

La Bastide est prise !

A tous les aficionados du blog sur la prise de la Bastide absents de facebook, à l'instar de Jiji de Saint Gervais, je présente mes plus plates excuses pour ce retard.
Nous sommes jeudi, le 5 février de l'an de grâce 2015 et la Bastide est tombée depuis le mardi 3 février aux alentours de 18h, après moultes péripéties et dangers bravés avec brio sans que vous, dignes sympathisants de notre juste et noble cause, en fussiez avertis.

Honte à moi pauvre vermisseau des fanges, perdu dans ce maelstrom de cartons à vider, de meubles à déplacer, de rue de la Rousselle à nettoyer.
Honte à moi, donc, de vous avoir négligés de la sorte.

Faute réparée (je l'espère et le souhaite de tout mon petit coeur de vermisseau) par cet article fort en photos (mais plus faible en commentaires, je vous préviens d'avance).





































Sinon, Catry a de nouveau disparu.
Nous ne savons pas si il a fait le nécessaire pour les passages d'air.
Ce que nous savons, c'est qu'il devait reprendre (et finir) le bardage extérieur mais que ce n'est pas fait.

La façade extérieure devrait être montée le 16 février (d'après Fabien), "wooof le 16, ça va êt' compliqué, on verra quand on aura fait les plans" d'après le serrurier qui est passé mercredi en début d'aprem.

La pompe à chaleur était en panne lorsqu'on est arrivé (non seulement c'était le jour de notre installation mais c'était aussi le jour le plus froid sur Bordeaux depuis 1789 !) et on s'est bien caillé les meules. Heureusement, elle a été dépannée hier en début d'aprem et ce soir, ça va mieux.

Voilà. On est épuisé, c'est le bowdel intégwal à la Bastide, pas le temps de déprimer ou d'être heureux, il faut avancer, avancer, avancer...
Mais, mon petit doigt me dit qu'on va être bien dans notre nouvelle maison !

1 commentaire:

  1. Jiji de Saint Gervais5 février 2015 à 23:09

    Cher vermisseau des fanges,

    En voilà de la réactivité ! Pas même le temps de geindre qu'un cargo de photographies m'arrive en pleine tête ! Et quelles photos !
    Comme elle est soudainement vivante, cette maison, avec tous ces meubles, ces cartons, ces livres, cette guitare et tout le tintouin !
    Pas d'excuses qui vaillent, vous voici absous de facto, vermisseau au grand coeur... et aux gros biscottos pour ranger tout ça ces prochains jours.

    Du courage, donc, pour cette ultime ligne droite, avant de savourer ENFIIIIIIIIIN !

    Vous y êtes arrivés, boudiou, vous y êtes arrivés !
    Je n'aurai qu'un mot : respect !

    Et un autre mot également : bises.


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